Présentez la solution VTex en une phrase…
VTex est LA solution ecommerce « tout en un » incluant aussi bien l’OMS, que le CMS et la market place.
Quel a été l’impact de la crise sanitaire depuis un an ?
Les commerçants ne se posent même plus la question de savoir s’il faut investir sur le digital. Ils veulent s’engager mais pas sur des plans à trois ans. Ils recherchent des projets offrant une mise en œuvre rapide (Time to Market) et des coûts réduits, incluant l’intégration dans les systèmes existants (Total Cost of Ownerhip).
Quels sont les principaux enjeux du retail, selon vous ?
Les retailers ont l’obsession du time to market, de la rapidité de mise en œuvre. Ils ont besoin aussi d’enrichir l’expérience client, que celle-ci soit omnicanale, transparente, sans couture. Nos solutions doivent donc être faciles à intégrer, complètes. Elles proposent un module « market place », qui est un canal, à mon avis, en plein essor. Chez VTex, cette activité, en forte croissance concerne plus de 300 clients.
Autres tendances : la recherche d’une flexibilité accrue, pour passer facilement d’un contexte BTC (Business To Consumer) à du BTB (Business To Business), du BTBTC (Business to Business to Consumer), le tout dans un contexte international.
Quels sont vos points forts ?
On peut faire du « plug and play » avec nos solutions pour aller vite. En intégrant nos briques, un client est capable de lancer son site en deux semaines. C’est ce qu’a réussi récemment Wirepool. Comme c’est une plateforme multi-tenant, pas besoin de se soucier d’upgrader la formule pour passer de la V1 à V2. Notre technologie moderne accepte le « lowcode », la capacité de modéliser ses référentiels et ses contenus (grâce à une approche « headless »).
Nous offrons également de réels services support et un suivi de la relation client. C’est un gage de pérennité et de succès pour nous.
Quels sont vos références ?
VTex compte à ce jour plus de 3000 clients, basés essentiellement en Amérique Latine dans des secteurs divers (mode, luxe, pharmacie, biens de consommation). Certaines de ces entreprises (Carrefour, L’Oreal, Decathlon, Christian Dior, Levi’s)…sont présents en Europe. On est capable de répondre à des projets complexes (circuit logistique, fiscalité, taxes douanières).
Des exemples d’indicateurs de résultats ?
Nous vendons un bon retour sur investissement. Nous avons plusieurs indicateurs de performances. Dans le merchandising, grâce à un des moteurs de recherche interne les plus aboutis du marché, nous mesurons l’augmentation des taux de conversion, le panier moyen. Mais parfois la mesure du résultat passe par la qualité de l’expérience client offerte, comme par exemple pour le site Christian Dior.
Comment voyez-vous l’avenir du retail ?
C’est un des secteurs qui affiche une des plus fortes croissances en termes activité. Les magasins vont continuer à prendre de l’importance. Mais l’omnicanalité va prendre tout son sens. On verra émerger des spécialistes, des verticaux pointus, à l’image d’un ManoMano (bricolage).
L’essentiel du travail, pour les retailers, portera sur l’amélioration de l’expérience client multicanale et multidevice. Pouvoir commencer une transaction au téléphone, pour la finir en magasin ou encore sur le site etc. Le phénomène du DTC (Direct to Consumer) pour les grandes marques va s’accélérer.